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Rouben Shougarian explique tout d’abord pourquoi il est nécessaire de départager clairement deux domaines distincts qui sont la réconciliation et la normalisation des relations entre l’Arménie et la Turquie. Selon lui, « quand les deux processus de normalisation et de réconciliation sont entremêlés on se retrouve dans une impasse ». L’ancien vice-ministre des Affaires étrangères d'Arménie
Selon Hrag Papazian, la Turquie, et particulièrement Istanbul, semble être un lieu tout à fait unique pour l'étude de l'identité arménienne contemporaine, compte tenu de la diversité croissante du « paysage de l'Arménité », surtout au cours des dernières décennies. Il tente ainsi de présenter ce qu’il nomme « les trois “types” d'Arméniens vivant actuellement en Turquie » : les membres de la minorité traditionnelle chrétienne arménienne de Turquie, la fameuse Hamaynk (communauté)
Ces cinq dernières années, l’Arménie a connu des bouleversements importants tant dans sa vie politique qu’en matière de géopolitique autour de ses frontières. Pendant cette période, le pays est passé par des périodes d'agitations socio-politiques, des changements de Constitution et de régime politique, d'accueil de milliers d'Arméniens de Syrie réfugiés de guerre, la commémoration du centenaire du Génocide des Arméniens, la réorientation des priorités stratégiques extérieures et la reprise de la guerre au Haut-Karabagh. Essayons, à travers des représentations réciproques, de faire un point sur les enjeux qui pèsent aujourd’hui dans sa relation avec son plus vieil allié stratégique, la Russie.
Récit de voyage, à la rencontre de la société civile turque d'Istanbul et de Diyarbakir. Un projet de dialogue interculturel mené par l’ONG Yerkir, en compagnie de jeunes journalistes de la diaspora et du sénateur français Jean-Yves Leconte.