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Dans cette interview, Murat Paker, psychothérapeute turc, revient sur la notion de traumatisme et notamment celle de « traumatisme social » qui convient autant aux Arméniens victimes du Génocide de 1915 qu’aux Kurdes et aux Alévis. Il insiste également sur l’importance du contexte sociopolitique global qui, selon lui, est déterminant dans l’apparition de traumatismes.
Dans cet article, Levon Guevorgyan, regrette que les commémorations du centenaire du génocide arménien ne se soient résumées qu’à « des concerts, des expositions et à un flux important de touristes en République d'Arménie ». Il explique pourquoi il est dangereux de rester inactif quant aux réclamations de réparations devant les tribunaux turcs et le droit supranational.
le rapport Résolution avec Justice : Réparations pour le Génocide Arménien a vu le jour à la veille du centenaire du génocide des Arméniens. Il a été rédigé par le Groupe d’études des réparations du génocide des Arméniens composé de Henry Theriault, Alfred de Zayas, Jermaine O. McCalpin et Ara Papian.
Dans cet article, Ümit Kurt explique que, sous les périodes ottomanes et républicaines turques, une série de lois et de décrets concernant l'administration des biens laissés par les Arméniens ottomans qui étaient déportés en 1915 a été publiée. Ces lois et statuts étaient connus comme les « Lois sur les propriétés abandonnées » et la majorité de ces textes a été émise dans la période républicaine. Selon l’historien, la République de Turquie et son système juridique ont dans un sens été construits sur la saisie de la richesse culturelle, sociale et économique arménienne, et la suppression de la présence des Arméniens sur le territoire turc.